mardi 31 juillet 2012

MICHELLE JENNEKE : TROP SEXY POUR LE 100 MÈTRES HAIES !


Deux semaines après «l'évènement», et une vingtaine de millions de visionnements sur YouTube plus tard, le monde est encore sous le "choc"... Le choc causé par l'échauffement ultra-sexy de la sprinteuse australienne Michelle Jenneke, avant une course de qualifications pour le 100 mètres haies, aux récents Mondiaux Juniors de Barcelone. À prime abord, en la voyant ainsi sauter, se déhancher, se dandiner, secouer ses cuisses, danser, jouer des bras et des doigts, on se dit que cette jeune femme de 19 ans, native de Kenthurst (Nouvelle-Galles du Sud), en fait un peu trop, ou cherche à retenir l'attention des cameramen qui filment la course. Mais d'un autre côté, ce sourire radieux, accroché en permanence à ses lèvres, cette exubérante joie de vivre juvénile, qui émane de tout son corps, nous font croire que ce "spectacle" sensationnel n'est pas une séance de provocation mais procède bien davantage d'une excitation pure et vraie. Une excitation liée à son amour pour la course. Dès sa prime enfance, à la maison de ses parents, la petite Michelle avait l'habitude de courir par-dessus des oursons en peluche qui servaient de haies.




Si l'Australienne a conservé son enthousiasme d'enfant, elle a bien grandi depuis ce temps, et, ces dernières années, elle a ajouté des formes sensuelles à son corps d'athlète. Sa démonstration de "sex-appeal" à Barcelone était une combinaison unique de son caractère enjoué et de sa silhouette "bien roulée"; le tout animé par une énergie galvanisante. Jenneke est-elle conscience de "l'effet du tonnerre" qu'elle produit en accomplissant sa super routine sexy d'avant-course ? Seule elle le sait vraiment. Mais cet enchaînement d'actions préparatoires paraît naturel quoiqu'un peu excessif, tout de même... Pas pour sa mère, cependant. Celle-ci s'étonne de l'attention que l'on porte soudain à sa fille qui, selon elle, ne fait rien de bien différent depuis qu'elle prend part à des compétions sportives de haut niveau. Que ce soit en grimpant aux arbres lorsqu'elle était gamine, ou, un peu plus tard, en jouant au soccer ou au handball avec ses ami(e)s, ou encore en prenant soins de ses chats et de ses chiens, la sportive au physique avantageux a toujours été démonstrative et débordante d'entrain.


Devenue instantanément une vedette du web, grâce à son "show sexy" de Barcelone, Jenneke n'en est pas moins une sprinteuse plus que prometteuse. Même si elle a raté sa qualification pour les Jeux Olympiques de Londres, l'excitante recrue imitera peut-être bientôt une championne de son pays, Sally Pearson (photo ci-contre), l'actuelle reine mondiale de l'épreuve des 100 mètres haies, chez les dames. Questionnée au sujet de son échauffement assez "spécial" à Barcelone, Jenneke répond que c'est simplement sa façon de relaxer avant de prendre le départ des courses. Elle ajoute qu'elle n'est pas du genre à "focuser" outre mesure avant de s'élancer sur la piste. Elle veut être le plus détendue possible. Ses adversaires ne semblent pas se formaliser du manège pré-course ou de l'attitude survoltée de leur impétueuse rivale. Elles semblent accepter que cet esprit de compétitivité pétillant fasse partie de la personnalité de la prometteuse jeune femme. Cet enthousiasme sans borne pour leur discipline sportive semble même contagieux !



Dans la "foulée" de tout ce battage médiatique autour de la très sexy Michelle Jenneke, les éditeurs de magazines pour hommes ou de sites web pour adultes ont flairé une occasion d'affaires qui fait rêver. Le site pour adultes SEX.COM a déjà pris les devants en demandant à la jeune athlète australienne l'exclusivité de photos qui la montreraient dans son costume d'Ève. Selon Martin Ellison, de SEX.COM, Jenneke a un sex-appeal hors du commun. Elle possède un potentiel de séduction qu'elle peut utiliser pour faire grandir encore davantage sa renommée et sa carrière. SEX.COM est même disposé à verser un montant d'argent substantiel à la Commission des Sports d'Australie afin de s'assurer les "services" de la nouvelle coqueluche du net. Il est irréaliste de s'attendre à ce que pareille Commission puisse accepter des subsides provenant d'une telle source, mais ça prouve jusqu'à quel point la magie de Jenneke peut pousser une entreprise à s'aventurer loin afin de pouvoir profiter de ses charmes.

Ci-dessous, la course et, surtout, le prélude de ce 100 mètres haies de Barcelone, qui ont rendu célèbre la jeune sensation australienne...

vendredi 20 juillet 2012

LES CHEERLEADERS DES BUCCANEERS SONT "GONFLÉES" À BLOC...


Points de mire de plusieurs dizaines de milliers de spectateurs et de plusieurs dizaines de millions de téléspectateurs; icônes symboliques d'un sport immensément populaire aux États-Unis; modèles de beauté et de forme physique parfaite; les cheerleaders des clubs de la Ligue Nationale de Football (NFL) ont une place de choix dans le coeur et l'imaginaire de tous les Américains. Toutes les petites filles du pays de l'Oncle Sam rêvent un jour ou l'autre de faire partie de ces groupes de fées modernes qui divertissent l'innombrable foule d'amateurs de "foot" rassemblée devant leur écran de télé ou assistant en direct au spectacle grandiose de la NFL. La compétition est tellement vive pour arriver à se tailler un poste parmi la vingtaine ou la trentaine de meneuses de claques que chaque équipe envoie sur le terrain à tous les dimanches durant la saison, que c'est un grand honneur lorsqu'on leur apprend qu'elles sont choisies parmi des centaines de prétendantes pour représenter l'organisation autant au stade devant les partisans que dans la communauté à laquelle elle appartient. C'est le fier aboutissement de plusieurs années d'apprentissage difficiles, au prix d'efforts ardus et de blessures multiples. Les performances des cheerleaders sur le terrain de football ne représentent que 10 % de leur travail. La partie la plus importante de leur emploi du temps c'est de représenter la franchise dans sa communauté. Que ce soit pour apporter leur aide à des oeuvres de charité, ou pour promouvoir des évènements socio-économiques en tous genres, les pom-pom girls doivent veiller à préserver l'image de marque de leur employeur. Leur comportement doit être irréprochable. Évidemment elles doivent bien paraître afin d'attirer l'attention et remplir leurs fonctions avec grâce et diligence. À cause des exigences de leur métier super médiatisé, et de leurs très courts "habits de travail" qui laissent leur corps exposé, les filles sont portées à recourir à la chirurgie esthétique afin d'être physiquement à leur mieux. À la recherche de la poitrine parfaite, beaucoup de cheerleaders professionnelles, comme 400 000 autres femmes nord-américaines l'an dernier, se font opérer pour augmenter le volume de leurs seins (augmentation mammaire).



Si depuis une vingtaine d'années, pour la très grande majorité des femmes qui la subissent, cette intervention chirurgicale est bien réussie, il n'en demeure pas moins que pour d'autres, les résultats sont moins heureux. Disons que plus on remarque la présence d'implants mammaires sur le corps d'une femme, moins l'opération peut être qualifiée de "succès". C'est malheureusement le cas pour certaines meneuses de claques des Buccaneers de Tampa Bay (photos). Leurs implants de silicone sont tellement apparents qu'elles semblent avoir...des ballons de football à la place des seins. Ou des coussins gonflés... Pas très beau pour une chirurgie dite "esthétique". Et de plus, elles risquent d'être parmi les 20 à 40 % des femmes, opérées pour une augmentation mammaire, qui devront se soumettre à une autre intervention chirurgicale du même genre dans les dix prochaines années, afin de faire remplacer leurs "prothèses".



En effet, de nombreux problèmes peuvent affecter les femmes porteuses d'implants. Ces derniers peuvent leur causer de l'inconfort et de la douleur parce qu'ils sont mal positionnés. Essentiellement des "sacs" ou des enveloppes remplis de gel ou de silicone, ils peuvent également se déchirer ou avoir des fuites. Ils risquent aussi de se plisser et leurs contours ne sont pas toujours lisses. Mais la situation la plus déplorable survient quand la cicatrice, causée par l'opération, ne guérit pas comme il faut. C'est ce que les chirurgiens appellent la "contraction capsulaire". Le tissu cicatriciel qui se trouve autour de l'implant durcit ou se resserre. Comme toute opération ou toute introduction d'un objet étranger à l'intérieur du corps humain, l'augmentation mammaire peut entraîner des saignements, des infections, de l'inconfort, des engourdissements et un changement dans la sensation du sein. Ce sont des inconvénients souvent passagers, mais il arrive parfois que le corps de la patiente rejette ou accepte mal les implants. On devra alors les retirer. Même chose si les chirurgiens endommagent les implants, sans s'en rendre compte, durant l'opération initiale.



L'Implant Awareness Society, un organisme situé en Colombie-Britannique et dont la mission est de sensibiliser les femmes aux dangers de l'augmentation mammaire, va plus loin en affirmant que ces implants sont toxiques pour le corps humain. Selon les membres de cette association, les effets secondaires de ce type d'intervention chirurgicale, sont nombreux : quintes de toux, insomnie et autres ennuis du même genre. Ils prétendent que ces implants peuvent causer des maladies comme l'arthrite rhumatoïde, la fibromyalgie, la sclérose en plaques et le cancer. Ce que la plupart des médecins refusent de confirmer faute de preuves documentées et fiables.




Quoi qu'il en soit, -qu'elles revêtent leur costume "rétro" (blanc et orange) ou leur uniforme "régulier" (rouge, noir, gris)-; certaines pom-pom girls des Bucs sont un peu trop "gonflées à bloc" (et ainsi trop sexy pour le sport), à cause d'implants mammaires sur-dimensionnés et/ou mal ajustés. Heureusement, la vaste majorité de leurs consoeurs à travers la NFL n'ont pas ce problème. La superbe cheerleader des Broncos de Denver, qui apparaît ci-dessus, a été photographiée en 1995. Sa plantureuse poitrine est-elle naturelle ou fausse ? Il y a de fortes probabilités qu'elle soit "siliconée", mais au moins les implants mammaires, dans ce cas, ne se "dessinent" pas trop dans le corsage de cette jolie blonde. D'autres beaux exemples semblables "sautent aux yeux" dans ces deux diaporamas que vous trouverez sur mon site web FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW, aux adresses suivantes :

http://footballmaniaavechacksaw.blogspot.com/2011/08/special-cheerleaders-2011-2e-edition.html


http://footballmaniaavechacksaw.blogspot.com/2010/07/le-jets-flight-crew-prend-son-envol.html